T’es comateux mais au moins t’as pas oubliĂ© ton rĂ©veil et t’es pas trop trop Ă  la bourre. Bon faut pas rester 6 mois sous la douche mais ça va t’es bien lĂ  ! Pour les soins du cheval : Source : Pixabay de Alexas_Fotos. ♠ T’as brossĂ© tout Enfait on peut ranger dans 2 catĂ©gories les demandes qu’on fait aux chevaux:. Soit vous voulez qu’il rĂ©ponde au stimulus (=demande) que vous lui proposez. Vous attendez donc une rĂ©ponse de sa part, une rĂ©action Ă  votre stimulus.Vous ĂȘtes donc dans la sensibilisation, vous voulez sensibiliser le cheval Ă  votre stimulus.-Exemple: Vous sensibilisez votre cheval Ă  l’action Eneffet, on demande au cheval de se ployer et de se dĂ©placer avec les 2 bouts du mĂȘme cotĂ© : le bĂ©nĂ©fice est donc rĂ©el pour assouplir le cheval, mais l’exercice est exigeant. Au dĂ©but, demandez peu et remettez en avant dĂšs que vous perdez l’impulsion. Favorisez toujours le mouvement en avant, sans altĂ©ration de la cadence. Synonymespour la definition "Bon cavalier mais pas Ă  cheval sur les principes" avec la liste des solutions classĂ©s par nombre de lettres Cookies Utilisation de cookies et protection vos donnĂ©es. Notre organisation et ses partenaires peuvent stocker et/ou accĂšder Ă  des informations sur votre appareil, telles que les identifiants uniques de cookies pour traiter 10/ Accompagner le jeune cheval. Ne vous attendez pas Ă  avoir dĂšs la premiĂšre sĂ©ance un cercle bien rond, un cheval qui tend sa longe, qui engage des postĂ©rieurs, qui a un joli pli et une bonne incurvation . Bien longer son cheval met du temps. Donc ne placez pas la barre trop haute. BonjourĂ  tous, Je fais demain une balade avec ma ponette mais j'apprĂ©hende. C'est la premiĂšre fois que je la sors en QC9F. Quel locuteur du français n’emploie-t-il pas rĂ©guliĂšrement des formules telles que froid de canard », faim de loup », poule mouillĂ©e », ours mal lĂ©chĂ© », tĂȘte de cochon », larmes de crocodile », langue de vipĂšre », puce Ă  l’oreille » ou encore miroir aux alouettes » ? Parce qu’il est, depuis sa domestication il y a quelque 5 000 ans, le plus proche compagnon de l’homme avec le chien et, parfois, le chat, le cheval a alimentĂ© une partie importante de ce bestiaire. Dans la culture occidentale, les valeurs symboliques du cheval sont moins puissantes que celles d’autres animaux comme le chat, l’ñne, le loup ou le renard, qui incarnent l’adresse et la sensualitĂ© pour le premier, la stupiditĂ©, la brutalitĂ©, la ruse pour les autres. Il suffit de relire les fables de La Fontaine pour se le la plus noble conquĂȘte que l’homme ait jamais faite », selon la cĂ©lĂšbre phrase de Buffon, sont souvent associĂ©es des images positives telles la robustesse et l’abnĂ©gation. On les retrouve dans fiĂšvre de cheval » ou remĂšde de cheval », alors que le cheval de labour » est un homme infatigable. Les comparaisons sont parfois moins flatteuses. Un cheval de carrosse » est un grossier personnage. On parle de grand cheval » pour railler une femme peu fĂ©minine et de cheval de retour » pour fustiger une personne, un homme politique le plus souvent, qui a fait son temps mais ne se rĂ©sout pas Ă  passer la que les traits de l’animal lui-mĂȘme, c’est son utilisation qui a engendrĂ© le plus grand nombre d’expressions cheval de bataille », travailler comme un cheval », ĂȘtre Ă  cheval sur les principes, le service
 », monter sur ses grands chevaux », ces derniers Ă©tant, dans la sociĂ©tĂ© fĂ©odale, les destriers qu’enfourchaient les seigneurs pour aller bien sĂ»r, a son lot d’expressions du mĂȘme type. Parmi les plus courantes, To be as strong as a horse », dont le pendant français est Ă«tre fort comme un bƓuf », et straight from the horse’s mouth » directement de la bouche du cheval, une maniĂšre de dire que l’on sait quelque chose d’une source sĂ»re. That’s a horse of a different color » est l’équivalent outre-Manche et outre-Atlantique de c’est une autre paire de manches ». Les anglophones disent aussi I could eat a horse » et he eats like a horse », quand, en français, on dit j’ai une faim de loup » et il a un bon coup de fourchette ».Aux Etats-Unis, au moment des Ă©lections, on entend parfois parler de dark horse ». Il s’agit d’un candidat qui sort de l’ombre, donc peu connu du grand public. Encore ne faut-il pas s’arrĂȘter au seul mot cheval pour mesurer la richesse du lexique français en la matiĂšre. Prendre le mors aux dents », ronger son frein », courir Ă  bride abattue », laisser la bride sur le cou », faire cavalier seul », tirer Ă  hue et Ă  dia », mĂ©nager sa monture », ĂȘtre mis Ă  pied », Ă  tout crin »  sont autant d’expressions liĂ©es au monde derniĂšres sont explicites. Ce n’est pas toujours le cas. Pour comprendre le vrai sens de ne pas ĂȘtre dans son assiette », on doit se souvenir qu’avant de dĂ©signer la vaisselle dans laquelle on sert la nourriture, l’assiette signifiait la maniĂšre d’ĂȘtre posĂ©. Ne parle-t-on pas aujourd’hui encore de la bonne assiette d’un cavalier » ? Prendre ombrage » vient aussi du cheval, animal soupçonneux qu’un rien effraie, y compris une ombre. Se mettre Ă  poil » n’est rien d’autre qu’une variation de Ă  cru », une façon de monter sans selle ni couverture. Plus Ă©tonnante encore est l’origine de en moins de deux », expression utilisĂ©e pour signifier que l’on rĂ©alise quelque chose rapidement autrefois, pour qu’un trotteur puisse entamer une carriĂšre aux courses, il fallait qu’il coure deux mille mĂštres en moins de deux le sait, les mots et les locutions naissent, vivent, meurent. Une expression comme Ă  cheval donnĂ© on ne regarde pas la bouche » il ne faut pas ĂȘtre exigeant quand on vous fait un cadeau Ă©voque un univers oĂč le cheval est un Ă©lĂ©ment essentiel de la vie quotidienne. Cet univers est du passĂ©, l’expression aussi. Avant de se mettre au saut d’obstacles, il est nĂ©cessaire de travailler votre Ă©quilibre ainsi que votre position sur les cavalettis pour maĂźtriser les obstacles pris au trot. Lorsque vous avez cernĂ© votre cheval et maĂźtrisĂ© son allure, vous allez pouvoir adopter la bonne position pour le saut d’obstacles. Ne pas gĂȘner l’équilibre du cheval Le cheval sait naturellement et instinctivement outrepasser les obstacles auxquels il fait face dans la nature. C’est lorsque s’ajoute un cavalier qui monte Ă  cheval sur son dos que les choses se compliquent pour l’animal. Votre rĂŽle en tant que cavalier sera donc principalement de l’aider Ă  les franchir dans les meilleures conditions, lui donner confiance tout en Ă©vitant de l’encombrer. Au travail Lorsqu’il s’agit de rĂ©aliser un saut d’obstacles, vous devez avant tout avoir la sensation de maĂźtriser la situation. Vous devez ainsi vous sentir Ă  l’aise et parfaitement en Ă©quilibre. Vous devez dĂ©montrer que vous savez ce que vous avez Ă  faire et que vous maĂźtrisez votre monture. Lorsque soudainement votre cheval tente d’accĂ©lĂ©rer dans la ligne droite avant l’obstacle, votre entraĂźneur vous demandera de vous mettre sur un cercle avant d’attaquer Ă  nouveau l’obstacle. RepĂ©rez bien l’obstacle ainsi que la ligne que vous devez suivre pour l’atteindre. Mettez votre cheval au galop et Ă©valuez votre trajectoire de maniĂšre Ă  garder plusieurs foulĂ©es en ligne droite avant l’obstacle. Quelques foulĂ©es avant l’obstacle, installez-vous en position assiette et poussez le cheval avec les jambes. Les mains baissez et les rĂȘnes tendues, regardez au-delĂ  de l’obstacle et non au pied de ce dernier. Le moment de la batture des antĂ©rieurs venu, c’est-Ă -dire lorsque le cheval prend son appel en battant le sol des antĂ©rieurs, relevez-vous des Ă©triers, en mĂȘme temps que le cheval, et ce, en suspension. Evitez surtout d’avancer les mains, vous devez entretenir un contact constant avec la bouche. Si vous avancez vos mains brusquement, cela mettra le cheval dans le flou et pourra le faire refuser. Lorsque le cheval est au-dessus de l’obstacle, vos coudes doivent ĂȘtre souples, vos mains doivent soutenir l’extension de l’encolure et les rĂȘnes toujours tendues. Intensifiez la flexion de vos genoux tout en continuant de porter le regard tout droit devant vous. Le cheval bascule et dĂ©ploie les antĂ©rieurs. Relevez le buste tout en gardant constamment le contact avec la bouche du cheval. Lorsque les antĂ©rieurs de l’animal touchent le sol, le cheval doit savoir oĂč il va. Il doit avoir reçu les indications nĂ©cessaires quant Ă  la direction qu’il doit prendre. Une fois l’obstacle franchi, le cheval doit reprendre la mĂȘme allure. Maintenez la force avec les jambes pour l’aider Ă  garder son allant et Ă©vitez qu’il cherche Ă  accĂ©lĂ©rer. Ce qu’il faut Ă©viter Pour rĂ©ussir votre saut d’obstacles Ă  cheval, la premiĂšre chose Ă  Ă©viter c’est de regarder au pied de l’obstacle. Il s’agit ici de l’erreur la plus courante faite par de nombreux cavaliers. C’est Ă©galement l’une des causes incitant votre monture Ă  refuser le saut. Ce que vous devez faire, c’est alors de vous projeter au-delĂ  de l’obstacle en y portant votre regard. Cela vous aidera par ailleurs Ă  adopter la bonne position lors de la battue. Attention Ă  la reception Une autre contre-indication importante Ă©galement il ne faut jamais rĂ©aliser un saut d’obstacles sans avoir prĂ©alablement l’assurance que la rĂ©ception n’est sans risque. Ce qui est vrai et dangereux. Vous devez Ă©viter de faire sauter votre cheval sur un terrain glissant, boueux, ou Ă  l’inverse si le terrain est dur et gelĂ©. Être en harmonie avec votre cheval Pour effectuer un bon saut, le cavalier et le cheval doit ĂȘtre en parfaite harmonie. En effet, il est avant tout question d’équilibre et de synchronisme dans les mouvements. Par ailleurs, un bon saut consiste Ă©galement en un sentiment d’extrĂȘme proximitĂ© avec votre cheval contact permanent avec sa bouche, afin de suivre et assurer le bon dĂ©roulement du saut d’obstacles; contact ferme des jambes qui doivent appliquer aux flancs de l’animal tout en maintenant Ă©lasticitĂ© et souplesse. Le saut de biais Il n’est pas rare de voir en concours des cavaliers faire sauter leur monture de biais sur l’obstacle. Il s’agit en effet d’une technique leur permettant d’aller plus vite en traçant le parcours le plus direct entre deux obstacles. Cependant, cela nĂ©cessite une bonne maĂźtrise de votre cheval, car cela lui offre la possibilitĂ© de dĂ©rober. Ainsi, il est avant tout indispensable d’arriver bien droit sur l’obstacle et idĂ©alement au centre. Ensuite, si le cheval dĂ©robe, vous devez rapidement le ramener sur un cercle le remettant face Ă  l’obstacle. En somme, le saut d’obstacles Ă  cheval nĂ©cessite une vĂ©ritable maĂźtrise de votre monture. Aussi, comme le cavalier et le cheval sont amenĂ©s Ă  ĂȘtre en harmonie, vous devez donc savoir solliciter la confiance de votre monture. Vous devez ĂȘtre Ă  mĂȘme de l’accompagner avant, pendant et aprĂšs le saut. On blĂąme beaucoup l’usage du mors et la douleur qu’il peut causer au cheval alors que le vĂ©ritable fautif n’est pas le mors mais la main qui tient la rĂȘne. Tout comme la majoritĂ© des dĂ©fauts et dĂ©fenses du cheval ont la mĂȘme origine Ă  savoir une mauvaise aussi le fait que changer de mors ne rĂ©soudra pas les conflits qui existent entre votre main et la bouche du cheval. InĂ©vitablement, avoir une bonne main est une nĂ©cessitĂ© pour progresser en Ă©quitation mais aussi pour respecter le bien-ĂȘtre de votre cheval et faire de vos sĂ©ances un plaisir partagĂ©. Qu’est-ce qu’une bonne main ? Une bonne main c’est une main dont les actions sont voulues par le cavalier et donc forcĂ©ment prĂ©cises et justifiĂ©es. La bonne main est fixe, elle ne tire pas plus fort que le cheval et elle ne recule pas vers le cavalier. Elle agit progressivement et cĂšde dĂšs que le cheval rĂ©pond favorablement Ă  son action. Vous concentrer sur le fait d’avoir une meilleure main vous apportera de nombreux bĂ©nĂ©fices Davantage de lĂ©gĂšretĂ© dans votre Ă©quitation et donc davantage de confort aussi pour vous et pour luiC’est le seul moyen pour pratiquer l’équitation tout en respectant le bien-ĂȘtre de votre chevalUne meilleure relation avec votre cheval puisque basĂ©e sur des aides justes et comprĂ©hensiblesDavantage de dĂ©contraction impossible s’il y a de la douleur et donc un travail plus sain et bĂ©nĂ©fique pour lui Quelles sont les consĂ©quences d’une mauvaise main ? Une mauvaise main a de graves consĂ©quences sur le cheval. Lorsque vous agissez sur les rĂȘnes, vous exercez une pression dans la bouche ou sur le nez et selon l’outil que vous utilisez, et cette force est dĂ©cuplĂ©e. ForcĂ©ment cela créé de la douleur chez le cheval, mais ce qui est encore plus grave que ça c’est la main injuste. Une mauvaise main tire de façon inconsciente et involontaire. Comme le cavalier ne s’en rend pas compte et qu’il ne tire pas pour obtenir quelque chose du cheval, la pression que ressent le cheval Ă  ce moment lĂ  n’a plus aucun sens. Pourtant le cheval lui continue de chercher la rĂ©ponse, il cherche comment se dĂ©barrasser de cette pression et c’est lĂ  qu’apparaissent des dĂ©fauts comme le cheval qui passe en arriĂšre de la main, qui secoue la tĂȘte, qui se dĂ©fend
Et enfin lorsqu’il comprend qu’il ne peut pas se dĂ©barrasser de cette pression, il finit par s’appuyer sur la main. Des mains qui tirent En bref une mauvaise main dĂ©grade physiquement et moralement le cheval quelque soit l’outil que vous utilisez avec ou sans mors. C’est un devoir en tant que cavalier de chercher Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© de notre main et ainsi rester dans une relation harmonieuse avec le cheval basĂ©e sur la comprĂ©hension. Comment avoir une bonne main ? 1 – Gagner en stabilitĂ© La stabilitĂ© Ă  cheval c’est le fait de ne pas se sentir dĂ©sĂ©quilibrĂ© quelques soient les mouvements du cheval. En gagnant en stabilitĂ© vous gagnerez ensuite en dĂ©contraction et en prĂ©cision. Pour y parvenir il faudra consacrer un minimum de mise en selle. Effectivement, un cavalier peu habituĂ© aux 3 allures du cheval sera trĂšs vite dĂ©sĂ©quilibrĂ©. Et comme dans n’importe quelle situation de dĂ©sĂ©quilibre nos bras ont des mouvements inconscients destinĂ©s Ă  nous aider Ă  garder l’équilibre. Difficile alors de faire autre chose que de se concentrer sur le fait de ne pas terminer au sol. C’est quelque chose qui est essentiel quand on est dĂ©butant mais qui reste Ă  perfectionner durant toute votre vie de cavalier. 2 – Être plus dĂ©contractĂ© Vous agissez avec vos aides mais vous oubliez souvent de cesser d’agir quand votre cheval vous donne ce que vous voulez. Il faut savoir que lorsque vous demandez quelque chose Ă  votre cheval avec vos aides. Ce dernier ne peut comprendre qu’il a bien rĂ©pondu qu’au moment oĂč vous cessez d’agir et oĂč vous relĂąchez vos aides pour revenir Ă  un Ă©tat neutre. Si vous ne relĂąchez pas vos aides au bon moment, votre cheval ne peut pas comprendre quand il fait bien et quand il fait mal. Il ne sait plus ce que vos actions veulent dire, ce qui le met dans une grande confusion et incomprĂ©hension. Face Ă  cette situation il peut se dĂ©fendre contre vos aides car il les vit comme une injustice. Ou alors il se rĂ©signe complĂštement Ă  subir la douleur d’une main qui ne cĂšde jamais en s’appuyant et en attendant que la sĂ©ance se termine enfin oui je sais dis comme ça c’est horrible et pourtant
. La solution ? Concentrez-vous davantage sur ce que vous faites dĂšs que vous utilisez vos mains choisissez consciemment le dosage que vous utilisez et soyez attentif pour cĂ©der au bon moment. Au dĂ©but vous aurez besoin de vous concentrer pour faire ça puis avec la pratique ça sera de plus en plus facile jusqu’à devenir une habitude. 3 – Ne plus tirer vers soi En tant qu’humain on a l’habitude de s’accrocher Ă  ce qu’on a Ă  portĂ©e de main. Alors c’est bien instinctif pour nous de tirer sur les rĂȘnes quand ça ne va pas et d’ailleurs, quand ça va aussi
 Comme la plupart des cavaliers ne s’en rendent pas vraiment compte, ou n’ont pas conscience de ce qu’est vraiment une main qui tire et qu’ils ne savent pas comment faire autrement ne serait-ce que pour ralentir leur cheval. Ils tirent quand mĂȘme. Posez vos mains devant la selle et interdisez-vous d’en changer. Vous avez le droit d’avancer, Ă©carter ou monter une main mais jamais de les ramener vers vous. Combien de temps ĂȘtes-vous capable de tenir comme ça ? Est-ce que votre cheval semble apprĂ©cier ce processus ? Des mains posĂ©es devant la selle Si vous faites de ces 3 principes votre prioritĂ© pour les mois Ă  venir, il est certain que la qualitĂ© de votre main va grandement s’amĂ©liorer. Et le mieux placĂ© pour vous en parler c’est votre cheval alors observez-le
 Avoir une meilleure main c’est indispensable pour avoir la lĂ©gĂšretĂ©, la dĂ©contraction et la comprĂ©hension du cheval. Mais il est possible que malgrĂ© vos efforts pour ĂȘtre un meilleur cavalier vous n’atteigniez jamais la lĂ©gĂšretĂ©. C’est le cas par exemple si vous ĂȘtes confrontĂ© Ă  un cheval qui a particuliĂšrement souffert dans sa bouche. C’est pour cette raison que je propose un programme payant pour ceux qui veulent aller plus loin. Abonnez-vous Ă  mes cours en ligne Si mon approche vous plaĂźt, que vous aimeriez prendre des cours avec moi mais que vous ĂȘtes trop loin,La plateforme de cours en ligne est justement faite pour ça,En vous abonnant, vous recevrez chaque semaine un nouveau cours audio Ă  Ă©couter Ă  cheval accompagnĂ© de sa fiche dĂ©diĂ©e ainsi que de nombreux autres avantages Savoir arrĂȘter son cheval correctement, rester droit et garder l’immobilitĂ©, autant vous dire que c’est tout un programme ! Faire un bon arrĂȘt requiert un certain nombre d’exigences techniques, d’autant plus quand on veut l’exĂ©cuter Ă  partir du trot ou du galop. Si vous avez dĂ©jĂ  tentĂ© l’expĂ©rience vous aurez remarquĂ© qu’un pas de cĂŽtĂ© et un postĂ©rieur en arriĂšre sont vite arrivĂ©s. Je vous livre dans cet article mes petits trucs pour amĂ©liorer Ă  coup sĂ»r vos arrĂȘts. Garder l’immobilitĂ© Pour rĂ©ussir son arrĂȘt il faut dĂ©jĂ  que le cheval ait envie de le faire et qu’il s’y plaise. Certains chevaux n’ont pas Ă©tĂ© Ă©duquĂ©s pour rester immobiles aprĂšs un arrĂȘt mais pas d’inquiĂ©tudes c’est assez facile Ă  instaurer. Si vous n’avez pas de problĂšmes avec l’immobilitĂ© vous pouvez passer au paragraphe suivant. Pour commencer vous allez repĂ©rer la durĂ©e moyenne durant laquelle votre cheval sait rester immobile, en gĂ©nĂ©ral c’est toujours plus ou moins la mĂȘme durĂ©e. Ensuite vous allez demander un arrĂȘt et rĂ©compenser l’arrĂȘt en donnant une friandise juste avant que votre cheval ne prenne l’initiative de bouger. En principe il devrait rester immobile le temps de dĂ©guster sa friandise. Si c’est effectivement le cas vous pouvez Ă  nouveau rĂ©compenser en donnant de nouveau une friandise. S’il ne reste pas immobile pour manger sa friandise il faut dans tous les cas continuer Ă  rĂ©compenser les arrĂȘts. Les friandises le rendront plus attentif Ă  vous, il est possible qu’aprĂšs plusieurs sĂ©ances il tourne la tĂȘte vers vous et s’arrĂȘte de lui-mĂȘme pour avoir une friandise. Si vous avez un cheval qui a tendance Ă  stresser cette habitude risque d’ĂȘtre plus longue Ă  prendre mais elle lui sera trĂšs bĂ©nĂ©fique. Progressivement vous pourrez augmenter la durĂ©e des arrĂȘts avant de rĂ©compenser par une friandise jusqu’à ce que vous n’en ayez plus besoin pour garder votre cheval Ă  l’arrĂȘt, ce dernier constituant dĂ©jĂ  une rĂ©compense pour le cheval. Les aides de l’arrĂȘt On dit toujours que pour arrĂȘter un cheval il ne faut pas tirer sur les rĂȘnes. Est-ce que cela vous semble un peu mystĂ©rieux ? Pourquoi ne faut-il pas tirer sur les rĂȘnes ? La bouche du cheval est une zone sensible et si l’on veut avoir une bonne relation avec son cheval et obtenir une rĂ©elle dĂ©contraction il est indispensable de ne causer aucune douleur au cheval. Arriveriez-vous Ă  vous dĂ©tendre alors que l’on vous cisaille les gencives et que l’on vous entaille les cĂŽtes ? Bien sĂ»r que non
 Donc du point de vue de la recherche de dĂ©contraction et du bien-ĂȘtre animal tirer sur les rĂȘnes engendre de la douleur, c’est donc une pratique Ă  proscrire. Mais alors comment arrĂȘter un cheval sans tirer sur les rĂȘnes ? N’oublions pas que dans le panel des aides nous n’avons pas seulement nos mains pour diriger le cheval, il est possible d’influencer le rythme de l’allure selon la façon dont nous utilisons notre corps. En Ă©tant Ă©nergique pour inciter le cheval Ă  allonger ou en Ă©tant au contraire un peu mou, Ă  se ramollir dans la selle avec la sensation des cuisses qui descendent davantage dans le cheval Ă  chaque foulĂ©e pour une transition descendante. Parmi le langage du corps il y a, entre autres, l’orientation du bassin dans la selle assiette mais pour bien s’en servir il faut que le cavalier soit suffisamment Ă©quilibrĂ© pour pouvoir se servir de son assiette comme une aide et non comme un moyen de rattraper son Ă©quilibre. Ainsi une assiette qui suit le mouvement du trot et qui se bloque tout Ă  coup est un signal d’arrĂȘt trĂšs facile Ă  distinguer pour le cheval. Pour les mains, il n’y a en rĂ©alitĂ© que les doigts qui peuvent agir en s’ouvrant et en se fermant sur les rĂȘnes. Selon l’orientation des effets de rĂȘnes les actions de doigts auront vocation soit Ă  dĂ©contracter la bouche soit Ă  ralentir le cheval en fermant successivement la main droite puis la main gauche au poser des membres correspondants. En associant toutes les aides de l’arrĂȘt dont l’assiette, le corps qui tend Ă  se ramollir et Ă  s’alourdir et la fermeture successive des doigts en fonction du poser des membres du cheval par des actions discontinues on obtient au pire au ralentissement et au mieux un arrĂȘt selon la sensibilitĂ© du cheval. ArrĂȘter son cheval en montant les mains ? Effectivement plutĂŽt que de tirer sur les rĂȘnes nous avons plus d’intĂ©rĂȘt Ă  vouloir monter les mains en les avançant. En procĂ©dant ainsi on ne tire effectivement pas sur la bouche puisque nous ne faisons que de monter les mains et de les avancer vers la tĂȘte du cheval. Ce n’est pas vraiment un procĂ©dĂ© pour arrĂȘter le cheval mais il peut produire l’arrĂȘt il s’agit en rĂ©alitĂ© d’un procĂ©dĂ© de rĂ©-Ă©quilibration du cheval. En montant les mains, vous invitez le cheval Ă  remonter davantage toute son encolure. En les avançant par la mĂȘme occasion sans laisser le cheval dans le vide vous lui permettez de ne pas se retrouver coincĂ© contre votre main avec le risque qu’il renverse l’encolure et enfonce le garrot ce qui est l’inverse de l’effet recherchĂ©.Ce procĂ©dĂ© donne donc davantage d’équilibre au cheval jusqu’au moment oĂč l’excĂšs d’équilibre provoque une impossibilitĂ© de dĂ©velopper de l’impulsion et le cheval s’arrĂȘte par excĂšs d’équilibre et non du fait de la douleur infligĂ©e. Voir l’équilibre et impulsion les deux antagonistes. Vous comprenez maintenant mieux l’origine de cette montĂ©e des mains pour demander l’arrĂȘt. En pratique c’est un procĂ©dĂ© que l’on utilisera trĂšs modĂ©rĂ©ment surtout si l’on souhaite ĂȘtre en mesure de modifier l’équilibre de son cheval en conservant l’impulsion. Dans la progression des aides de l’arrĂȘt, monter les mains vient en tout dernier si le cheval ne rĂ©pond pas ou en cas d’urgence cheval qui s’emballe. Comment travailler l’arrĂȘt sans arracher 3 dents Ă  son cheval ? Tout est dans la maniĂšre oublions pour un moment les reprises de dressage, les arrĂȘts Ă  la lettre ect
. Nous allons travailler d’abord en gardant ces 3 principes en tĂȘte et qui sont indispensables pour rendre votre cheval plus sensible pour les arrĂȘts. Soyez exigeant avec vous-mĂȘme. Utilisez d’abord le langage de votre corps pour arrĂȘter votre cheval et en dernier recours des actions du bout des doigts sur les rĂȘnes comme dĂ©crit ci-dessus. Soyez patient avec votre cheval, laissez-lui le temps de ressentir vos aides et de comprendre ce qu’il doit faire. S’il ne rĂ©pond pas immĂ©diatement ce n’est pas grave, ici on recherche d’abord Ă  le rendre plus sensible. Rapprochez et multipliez les transitions. Le cheval devient plus sensible lorsque l’on rĂ©pĂšte un exercice. J’applique moi-mĂȘme ces principes et j’adore cette façon de travailler parce qu’elle donne des rĂ©sultats sans jamais avoir besoin de monter en intensitĂ© pour se faire comprendre. Le cheval est dans la totale coopĂ©ration avec son cavalier et non dans la fuite ou la lutte contre une douleur qu’on lui inflige pour imposer une volontĂ©. Au fur et Ă  mesure des sĂ©ances on a un cheval de plus en plus disponible et concentrĂ© au travail, qui fait preuve de bonne volontĂ© et de gĂ©nĂ©rositĂ© en donnant parfois plus que ce que l’on attend de un cheval trĂšs conditionnĂ© ou proche de la dĂ©pression vous n’aurez peut-ĂȘtre aucun rĂ©sultat au dĂ©but, mais vous devriez le voir se transformer Ă  mesure qu’il comprend que vous voulez aller avec lui et pas l’inverse. Les arrĂȘts carrĂ©s Lorsque les transitions s’exĂ©cutent avec un contact lĂ©ger, des aides discrĂštes et dans la rectitude il est possible de pousser un peu plus loin ce travail en exigeant des arrĂȘts carrĂ©s. C’est-Ă -dire que l’on voudra que le cheval s’arrĂȘte avec les deux antĂ©rieurs et les deux postĂ©rieurs Ă  la mĂȘme hauteur. Pour ce travail il faut avoir la possibilitĂ© de se voir dans un miroir ou de bĂ©nĂ©ficier d’un regard extĂ©rieur pour juger de l’aplomb du cheval dans les arrĂȘts. Pour ce travail il est indispensable d’avoir des hanches prĂ©alablement assouplies, le travail des dĂ©placements latĂ©raux tient une part essentielle dans la qualitĂ© des arrĂȘts. En multipliant les arrĂȘts vous constaterez diffĂ©rents cas de figure en fonction de quoi vous adapterez votre travail avec les exercices conseillĂ©s. Si vous avez toujours le mĂȘme postĂ©rieur en arriĂšre il vous faudra travailler des exercices pour amĂ©liorer l’engagement de ce postĂ©rieur. Si c’est alternativement un postĂ©rieur puis l’autre, une touche de la badine sur la croupe indiquera au cheval que vous attendez davantage d’effort de l’arriĂšre-main. Si votre cheval s’arrĂȘte avec les Ă©paules toujours dĂ©calĂ©es il s’agit d’un problĂšme d’équilibre. Il y a diffĂ©rents paramĂštres Ă  revoir Quelle est la qualitĂ© du contact avec la bouche ? Est-ce que le cheval s’appuie sur la main ? La mĂąchoire est-elle dĂ©contractĂ©e ? voir l’article sur la dĂ©contraction de la mĂąchoire Est-ce que la hauteur de nuque convient Ă  mon cheval ? Est-ce qu’elle lui permet de reporter du poids sur son arriĂšre-main ? Si c’est toujours le mĂȘme antĂ©rieur qui est en avant il pourrait ĂȘtre bĂ©nĂ©fique de reprendre les dĂ©placements latĂ©raux qui mobilisent le plus les Ă©paules comme les contre Ă©paule-en-dedans par exemple. Il faudra ĂȘtre attentif Ă  la maniĂšre dont le cheval rĂ©parti son poids entre ses deux Ă©paules. Vous avez testĂ© une solution pour corriger les dissymĂ©tries de votre cheval ? Maintenant rĂ©pĂ©tez Ă  nouveau les arrĂȘts et voyons s’ils sont bien carrĂ©s
 Parfois la correction des dissymĂ©tries ne suffit pas ou alors vous n’observez pas de tendance particuliĂšre dans les arrĂȘts c’est que vous devez revoir la rĂ©partition de votre poids dans la selle de façon Ă  gĂȘner le moins possible votre cheval. Modifiez subtilement la rĂ©partition de votre poids dans la selle et l’orientation de votre bassin un dĂ©calage d’une fesse lĂ©gĂšrement en avant ou en arriĂšre par rapport Ă  l’autre fesse jusqu’à ce que vous trouviez celle qui conviendra Ă  votre cheval. Vous devriez obtenir un arrĂȘt carrĂ© sans avoir besoin de fournir d’efforts supplĂ©mentaires. La chose la plus importante Ă  ne surtout pas nĂ©gliger consiste Ă  ĂȘtre sĂ»r que votre cheval apprĂ©cie d’ĂȘtre Ă  l’arrĂȘt, sans ça tout devient beaucoup plus difficile. Ensuite il faut affiner vos aides et rendre votre cheval plus sensible en rĂ©pĂ©tant souvent l’exercice, jamais en forçant les aides. Enfin le travail d’assouplissement du cheval sera votre meilleur atout pour obtenir des arrĂȘts carrĂ©s. Si vous avez d’autres questions concernant les arrĂȘts n’hĂ©sitez pas Ă  laisser un commentaire. Mis Ă  jour le 25/08/2020 Abonnez-vous Ă  mes cours en ligne Si mon approche vous plaĂźt, que vous aimeriez prendre des cours avec moi mais que vous ĂȘtes trop loin,La plateforme de cours en ligne est justement faite pour ça,En vous abonnant, vous recevrez chaque semaine un nouveau cours audio Ă  Ă©couter Ă  cheval accompagnĂ© de sa fiche dĂ©diĂ©e ainsi que de nombreux autres avantages Vous ĂȘtes ici Accueil / Travail du cheval / Mettre son cheval en main les 3 ingrĂ©dients magiquesAvoir un cheval dans une attitude stable, qui l’aide Ă  fonctionner correctement et dans le bon sens est la difficultĂ© majeure que rencontrent la plupart des cavaliers. Si en plus vous avez frĂ©quentĂ© diffĂ©rents club, vous avez peut-ĂȘtre remarquĂ© que toutes les mĂ©thodes que l’on a pu vous enseigner ne marchaient pas forcĂ©ment avec tous les chevaux. Je pense que lorsqu’on parle de mise en main, on passe Ă  cĂŽtĂ© d’un Ă©lĂ©ment essentiel et indispensable la dĂ©contraction de la mĂąchoire. DĂ©finition La mise en main correspond au cheval qui a son chanfrein Ă  la verticale ou lĂ©gĂšrement en avant de la verticale. Sa nuque est le point le plus haut et cette attitude doit, dans l’idĂ©al, rester stable aux 3 allures et dans tous les mouvements demandĂ©s. En gĂ©nĂ©ral c’est le signe d’un bon fonctionnement biomĂ©canique du cheval, mais il existe toujours des exceptions avec les chevaux qui se mettent en arriĂšre de la main, qui lĂąchent le mors ou qui creusent le dos. Les diffĂ©rentes mĂ©thodes Cisailler la bouche C’est le fameux droite – gauche, que l’on peut observer au niveau du mors dans la bouche qui semble se promener d’un cĂŽtĂ© Ă  l’autre et qui se rĂ©percute parfois sur toute l’encolure du cheval que l’on observe alors faire non » de la tĂȘte. Cette façon de faire est disgracieuse et oblige le cavalier Ă  le faire constamment puisqu’elle n’est plus efficace lorsque le cavalier cesse. Sur des chevaux qui ont Ă©tĂ© montĂ© par un ou des cavaliers ayant le dĂ©faut de le faire constamment, on observe qu’ils continuent de le faire d’eux-mĂȘme au trot particuliĂšrement mĂȘme lorsque le contact est identique sur les deux rĂȘnes. Utiliser un enrĂȘnement Hormis pour des chevaux de club ou des cavaliers pas suffisamment expĂ©rimentĂ©s pour mettre un cheval sur la main je ne recommande pas l’usage d’un enrĂȘnement. Les chevaux ont tendance Ă  s’appuyer et Ă  peser sur cet enrĂȘnement sans jamais cĂ©der vraiment et lorsqu’on le retire complĂštement, le problĂšme reste le mĂȘme. Le tire-pousse Cette façon de faire consiste Ă  rĂ©sister de façon Ă©gale dans les doigts et en fermant les jambes, le cheval cĂšde dans sa nuque et vient se mettre en place. Si elle est utilisĂ©e avec tact, ce qui est plutĂŽt rare Ă  mon sens, cette façon de faire ne pose pas de problĂšmes. Il y a certains chevaux qui ne supportent pas du tout cette mĂ©thode et refusent d’avancer, deviennent lourd Ă  la main et Ă  la jambe. Jouer dans ses doigts Qui veut tout dire et rien dire Ă  la fois et qui s’apparente souvent Ă  du cisaillement comme on a vu plus haut. Il y a aussi les adeptes du cercle pour la mise en main et qui alors ne jouent plus que sur une seule rĂȘne, souvent la rĂȘne extĂ©rieure au pli. C’est une façon de faire plutĂŽt efficace mais lorsque l’on revient sur des lignes droites, c’est le flou artistique. L’ingrĂ©dient magique D’aprĂšs mon expĂ©rience, il y a plusieurs ingrĂ©dients » Ă  avoir pour faciliter la mise en main. En revanche cela peut demander plusieurs sĂ©ances avant que cette derniĂšre soit effective La dĂ©contraction C’est l’élĂ©ment essentiel Ă  obtenir du cheval pour avoir un dĂ©but de mise en main, mĂȘme si le chanfrein ne vient pas se placer Ă  la verticale tout de suite. Pour qu’il y ait dĂ©contraction il faut qu’il y ait absence d’effets de force on ne demande pas Ă  quelqu’un de se dĂ©contracter en lui mettant 3 gifles, donc pour le cheval c’est attentifs Ă  la relation que vous avez avec la bouche du cheval, il ne doit pas grincer des dents, passer la langue ou lĂącher le mors ce serait un signe Ă©vident d’inconfort. Recherchez par l’intermĂ©diaire de votre main Ă  agir sur la commissure des lĂšvres ce qui peut demander de lever un peu les mains en les avançant pour ne pas tirer. A chaque instant, recherchez d’abord Ă  avoir un cheval qui mĂąche son mors et cĂ©dez immĂ©diatement mĂȘme s’il n’est pas encore sur la main. Voir l’article sur la dĂ©contraction de la mĂąchoire. Rééquilibrer On dit que lorsqu’on a un problĂšme avec le bout du devant, il faut rechercher la solution derriĂšre et inversement. Cela signifie que les problĂšmes de mise en main peuvent aussi dĂ©couler de l’arriĂšre-main. En mobilisant l’arriĂšre-main par des dĂ©placements latĂ©raux, on reporte du poids sur l’arriĂšre-main, on rééquilibre le cheval et on amĂ©liore la propulsion. Ce simple rééquilibrage peut suffire Ă  faire tomber le cheval dans la main. Encore une fois, c’est un dĂ©placement qui doit s’effectuer sans force, dans une allure confortable pour le cheval afin de susciter la dĂ©contraction. Être patient Si vous avez un cheval qui ne cĂšde pas facilement, qui ne mĂąche pas son mors ou autre, cela peut prendre un certain temps avant qu’il ne soit rĂ©ceptif Ă  vos actions de mains. Gardez en tĂȘte que vous recherchez la dĂ©contraction de la mĂąchoire, la mise en main est en fait le rĂ©sultat de cette malgrĂ© tout cela vous ne trouvez pas la solution, ne perdez pas patience et posez-vous les bonnes questions pour trouver ce qui correspondra le mieux Ă  votre cheval. Prenez du recul et remettez-vous en question, peut-ĂȘtre que vos aides sont trop fortes, vous bougez vos bras au lieu de bouger uniquement vos doigts sur les rĂȘnes, vĂ©rifiez que le contact est constant, apprenez Ă  cĂ©der au bon moment, repassez Ă  l’allure infĂ©rieure pour que ce soit plus confortable
 Le principal dĂ©faut des cavaliers d’aujourd’hui c’est qu’ils sont toujours trop pressĂ©s d’avoir leur cheval en place. Ils s’agacent lorsque ce dernier sort de la main Ă  l’occasion d’une transition ou dans un dĂ©placement latĂ©ral or c’est la meilleure façon de nuire Ă  la mise en main et de provoquer des contractions chez le cheval la situation se dĂ©grade. Un cheval qui sort de la main exprime simplement, un manque de souplesse et de force parce que l’exercice demandĂ© nĂ©cessite un effort inhabituel de l’arriĂšre-main. Les chevaux un peu vert dans le travail rĂ©ussissent souvent beaucoup mieux des exercices qui demandent un abaissement des hanches lorsqu’ils sont au-dessus de la main. Il faut comprendre que la mise en main est un rĂ©sultat et que la dĂ©contraction de la mĂąchoire avec un cheval qui mĂąche son mors est le point de dĂ©part de ce travail. Abonnez-vous Ă  mes cours en ligne Si mon approche vous plaĂźt, que vous aimeriez prendre des cours avec moi mais que vous ĂȘtes trop loin,La plateforme de cours en ligne est justement faite pour ça,En vous abonnant, vous recevrez chaque semaine un nouveau cours audio Ă  Ă©couter Ă  cheval accompagnĂ© de sa fiche dĂ©diĂ©e ainsi que de nombreux autres avantages

bon cavalier mais pas a cheval sur les principes